1.
Un salarié permanent s’est vu refuser sa demande DIF (compteur à ce jour de 60 heures). Cette formation s’inscrivait dans le cadre d’un développement personnel lié à des situations comportementales en liaison avec son travail.

  • Pourquoi ce type de financement est-il refusé ? Cette demande ayant été validée par sa hiérarchie en entretien annuel, quel recours a le salarié pour se voir pris en charge cette formation ?
  • Au -delà de ce point, comment la Société compte t-elle permettre aux salariés dont les compteurs augmentent d’année en année d’utiliser ce droit ?
  • Quelles sont les formations pouvant être concernées par le DIF et se trouvant dans l’axe du développement de l’entreprise ?
  • Quel budget a été réservé à ce dispositif ?
  • Combien de DIF ont été acceptés en DO PARIS depuis le début de l’année ?
  • Combien de demandes ont été refusées ?
  • Par rapport à ces deux questions, pouvez-vous nous ’indiquer quels sont les types de programmes concernés ?
  • Pouvez-vous nous fournir la liste des domaines entrant dans le champ des axes de développement de la DO PARIS

Réponse de la Direction : La Direction rappelle que cette question a déjà été traitée lors du dernier CE relatif au bilan de formation.
La mise en œuvre du DIF ne peut être que la résultante d’un accord entre le salarié et l’employeur. L’employeur n’est pas tenu d’accepter la demande de DIF.
Les actions de VAE et les formations de perfectionnement et de développement des compétences, en lien avec les emplois de l’entreprise et leurs évolutions possibles sont considérées comme prioritaires.
En conséquence, la demande de DIF peut être refusée ou reportée si elle n’est pas considérée comme prioritaire. En l’occurrence, le collaborateur ayant bénéficié d’une formation l’année précédente, la demande n’était pas prioritaire.
Si un désaccord subsiste pendant deux années consécutives, le salarié pourra faire une demande auprès du FAFTT.


2.

  • Lorsqu’un salarié n’aura pas atteint l’objectif recrutement CDI donné lors du dernier quadrimestre de cette année, sera-t-il pénalisé lors de son entretien annuel alors que ces mêmes objectifs n’ont aucune traçabilité ?

Réponse de la Direction : Il n’y aura pas de sanction en propre de cette situation, L’objectif n’étant pas de sanctionner mais de faire en sorte que chaque collaborateur commercial de l’entreprise prenne le pas de la vente de l’offre globale conformément aux ambitions de l’entreprise dans le cadre de la refondation.


3.

  • Pouvez-vous nous expliquer comment ôter une zone de chalandise (ou un nombre de dossiers) à un consultant en cours d’année, puisque d’ici la fin 2007, il doit partager (il est même en concurrence) avec le chargé d’affaire et le RA de l’agence pour que chacun est la possibilité d’atteindre les nouveaux objectifs ?

Réponse de la Direction : Effectivement, les collaborateurs agence, CREC comme les collaborateurs TT, ont la même zone de chalandise, celle de l’agence.
Il appartient au manager de diviser la zone en fonction de la typologie des entreprises pour que chacun puisse développer l’activité.
De ce fait, ils ne sont aucunement en concurrence et bien au contraire la compétence de l’un pouvant servir en support de l’autre, par le biais de visite en double pour optimiser le développement.