Les observateurs pouvaient légitimement s’interroger sur les intentions du syndicat patronal du travail temporaire Prisme qui proposait, ce 31 mai, aux organisations syndicales signataires de l’accord national interprofessionnel portant sur la sécurisation de l’emploi, un texte qu’il savait parfaitement inacceptable.
En proposant la disparition du délai de carence, une régression du droit commun du licenciement économique, une rémunération mensuelle pouvant être inférieure au smic et la (...)