Bien qu’il ne soit pas déontologiquement correcte pour un syndicaliste de s’étonner qu’une catégorie de privilégiés échappe aux licenciements, il serait bien que messieurs les directeurs de la DIT fassent preuve de solidarité avec les 48 informaticiens dont les postes vont être supprimés et que quelques uns donnent leur démission, ce qui aurait par effet des promotions internes de sauver 2 ou 3 emplois.
La politique de la DIT a été ces dernières années catastrophique avec une succession de projets écrits et réécrits avec au passage les sociétés de service qui se « sucraient » sur le (…)