Après avoir vu grandir cette entreprise loin des “juteux commerces” de la finance (même si on ne se leurre pas), loin des tentations de la gestion des problèmes conjoncturels par les dégraissages d’effectifs (même si d’aucun serait tenté de renommer “turn-over” en “licenciements déguisés”), nous avons eu tout de même la satisfaction de connaître une entreprise respectueuse des hommes qui la rendaient plus riche et qu’à son tour elle rendait plus stables et plus respectueux dans le monde du travail...
Aujourd’hui s’en est fini !
Nous voilà dans une machine à “broyer de la chaire payée (…)