Notre article du 19/02/2008 est remplacé par la publication intersyndicale
suivante, le fond de notre position étant partagé par l’ensemble des
organisations syndicales représentatives de Manpower :

« De nouveau, la Direction n’a pas souhaité communiquer au Comité Central d’Entreprise réuni ce jour en séance plénière la liste des agences fermées ou regroupées, les mouvements de personnels, les postes de travail avant et après restructuration ainsi que les impacts sur le personnel concerné.

Déjà en novembre et décembre 2007, vos représentants du personnel avaient formulé une telle demande restée lettre morte à notre grand regret !

Les informations qui nous sont remontées des différentes directions opérationnelles nous font craindre une restructuration bien plus importante que le prétend la direction puisque l’on parle maintenant de 150 agences impactées voire plus.

Devant l’insistance du CCE, la Direction a décidé de mettre à l’ordre du jour du prochain CCE prévu fin mars ces listes actualisées.

Le CCE ne pouvant accepter cette transmission d’information tardive et craignant des mouvements supplémentaires pendant cette période, a décidé de mandater son secrétaire afin de porter en justice ce cas manifeste d’entrave à vos instances représentatives.
L’avocat du CCE décidera de l’action la plus appropriée à mener et à porter devant les tribunaux.

Le manque de transparence voulu par la Direction et la façon dont sont traités nos collègues touchés par cette restructuration est inadmissible et en totale contradiction avec les propos tenus par notre Président.

Nous déplorons encore une fois le manque de transparence et de communication au sein de Manpower France. »